Seconde Tentative
ver de rapports constans entre les variations du baromètre et celles de l'état
du ciel, parce que les faits relatifs aux variations des mouvemens de
translation de l'air, et à celles de son état dans ses différentes couches, ne
furent jamais soigneusement étudiés. Il en est résulté que l'importante
distinction des cas où il n'existe qu'un seul courant d'air, d'avec ceux ou
plusieurs courans divers règnent simultanément, n'ayant point été faite, ou
plutôt n'ayant point été considérée, car elle fut apperçue par le Cat, le
problême resta sans solution, et fut abandonné. Cependant cette distinction, à
laquelle il faut joindre la considération des variations dans la force ou la
rapidité de chaque vent, satisfait à tous les cas, comme je m'en suis assuré, et
comme je l'ai exposé dans un mémoire qui n'a pas encore été livré à
l'impression.
Tel fut le premier objet vers lequel les recherches des physiciens se sont
dirigées, et telle fut l'issue de la première tentative qu'on fit pour donner
des bases à la météorologie.
SECONDE TENTATIVE.
LE second effort qu'on tenta pour établir la science dont il s'agit ; fut dirigé
vers la question de savoir s'il est certain que la lune ait sur l'atmosphère
terrestre une influence réelle dont l'intensité augmente ou diminue selon les
circonstances relatives aux différentes positions de cette planète par rapport à
nous. Ce fut Joseph
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